Aujourd’hui, c’est jour de sortie ! Et pas n’importe laquelle puisque c’est la dernière en date des éditions Taurnada. Et si tu ne connais pas mon amour pour cette maison d’édition, viens, on en parle.
Malgré son duo de choc, j’avais été moyennement convaincu par Le chemin du pardon de David Baldacci, qui se rapprochait de ce que je n’aimait pas chez Harlan Coben, à savoir une imprévisibilité totale de l’intrigue.
Pourtant, autant pour que ne pas rester sur un échec que par passion de la lecture, j’ai plongé les yeux fermé dans un deuxième roman de l’auteur.
Mon petit flex actuel, c’est que David Ruiz Martin m’ait envoyé son roman en avant-première.
Voilà.
Découvert avec Requiem des ombres, adoré avec Seule la haine, j’avais une confiance quasi aveugle pour son petit dernier.
Et si les plus de 700 pages du pavé (sur ma version epub… le livre en fait en fait environ 400) ont failli me faire voir flou, la vitesse à laquelle je l’ai englouti a balayé toutes mes craintes. Aujourd’hui, je te parle de…
Aujourd’hui, c’est un défi. Celui de te parler d’un livre sans te parler du livre.
Aujourd’hui, je te parle de
Une lueur dans la nuit
De Stacy Willingham
J’ai lu ce livre dans un état d’esprit particulier, dont je ne peux pas (ou ne veux pas te parler) avant que toi-même, tu l’ais lu. Parce que je veux voir si tu le vivras comme moi je l’ai vécu.
Quand j’ai fini ce livre, et c’est suffisamment rare pour être signalé, je n’ai eu qu’une envie. Celle d’écrire à l’autrice sur Instagram pour lui dire à quel point son livre m’avait marqué.
Parce que oui, ce livre fut une claque. Mais pas la claque coup de cœur du roman qui va hanter tes nuits et te donner l’impression que tu fermes la porte sur un monde merveilleux.
Non.
Plutôt la claque inattendue. Celle du roman dont tu n’attends rien. Celle du roman qui te surprend.
Une lueur dans la nuit, c’est exactement ce que ça a été pour moi. Une surprise. Complète et inespérée. Et écrire un article sur le pourquoi ou le comment est impossible, car je veux VRAIMENT que tu le lises, d’une façon ou d’une autre, et que tu viennes m’en parler.
Alors, oui, cet article sera probablement l’un des plus court que j’aie écrit. Mais je ne veux pas broder. Je ne veux pas risquer de gâcher ta lecture avec le mot de trop.
Fais-moi une confiance aveugle et court te procurer ce livre. Ou fais-moi une confiance modérée et emprunte le a la bibliothèque de ton quartier.
Parce que, certes, ce livre n’aura pas le même impact qu’un América[s] ou un Nous rêvions juste de liberté (et il faut aussi que tu lises ces deux-là), mais c’est le genre de premier roman que je rêve d’être capable d’écrire. Et celui qui m’a fait regretter d’avoir loupé son autrice à Quai du polar.
Mais, elle a écrit un second roman. Je vais donc maintenant attendre qu’il soit publié en France et rattraper ce temps perdu en essayant de la croiser en dédicace.
Je crois que je n’arriverai jamais à commencer un article de blog de manière convenable. Mais j’ai identifié le problème.
Je ne sais juste pas comment introduire un livre.
Le livre du jour, j’ai mis du temps à la lire parce que j’étais en plein Quai du polar. Entre conférences, rencontres avec des auteurs et dédicaces, j’ai eu beaucoup moins de temps que je pensais pour lire.
Mais je suis arrivé au bout. Et aujourd’hui je te parle de…
Est ce que toi aussi, ami lecteur, tu as le toc de la saga ? Tu sais, ce petit sentiment que tu dois absolument lire tous les tomes d’une série avant de commencer le dernier?
C’est ce qui m’est arrivé avec Sept démons. Et, sur le coup, j’ai eu de la chance, car je n’en avais qu’un a rattraper.
Allez tous vous faire foutre.
Non, ce n’est pas un message caché qui t’est destiné, c’est vraiment le titre du livre.
Et j’ai du coup pu le rattraper avant de me plonger dans ce nouveau roman.
Et donc, tu l’auras compris, aujourd’hui, je te parle de…
J’étais en train de chercher comment commencer à te parler du roman de cet article et, comme d’habitude, je ne savais pas comment commencer l’article. Puis d’un coup est venu l’illumination.
J’ai réalisé que ça fait bien longtemps que je ne t’avais pas parlé de Taurnada.
Tu sais, cette maison d’édition qu’on voit finalement assez peu passer mais qui enchaîne les masterclass… Ils en publient une, probablement aujourd’hui, si l’article sort le 16 mars.
Salut, ami lecteur ! J’espère que tu vas mieux que moi. L’hiver et le froid commencent désespérément à avoir raison de ma motivation à écrire des articles.
Même si février a été peuplé de quelques œuvres qui en nécessiteraient un, je dois quand même avouer que le temps manque. Tu n’échapperas cependant pas à celui sur Babylon, qui sera le plus long écrit sur ce blog. Et qui devrait arriver prochainement.
Mais aujourd’hui, c’est d’une petite bombe que je voudrais te parler. Qui n’est pas aller jusqu’au coup de cœur, mais qui s’est quand même élevé à un niveau plus important que le très bon bouquin.
Salut ami lecteur ! J’espère que tu es en forme parce qu’aujourd’hui, je vais te parler d’une lecture qui m’a quelque peu retourné le cerveau. Celle du roman Les sœurs de Montmort de Jérôme Loubry, qui était d’ailleurs l’invité du Quartier Noir en février.
Ce roman, c’est un peu tout ce que j’aime dans le thriller.
Aujourd’hui, je te parle rapidement du dernier thriller que j’ai lu.
Rapidement, parce que je t’avouerai que la flemme hivernale re-pointe le bout de son nez, et que j’ai l’impression, en ce moment, de ne plus savoir écrire d’article de blog.
Donc je lis (beaucoup) mais j’écris (très) peu, je me mets la pression (un peu) et pour compenser, je lis (beaucoup)… Bref, tu vois le cercle vicieux ?
Mais j’ai quand même envie de te parler rapidement de Voyage au bout de l’enfer de Florent Marotta.